Pensées…
Les plus touchantes…
Elles illustrent nos documentaires, film après film, depuis 2006.
A l’image du dessin de presse, elles résument fortement et simplement des idées fortes.
Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d’avis.
Le bonheur est l’accomplissement après-coup d’un souhait très ancien. C’est pourquoi la richesse rend si peu heureux. L’argent n’a pas été un souhait d’enfance.
Les politiciens, il y en a, pour briller en société, ils mangeraient du cirage.
Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes.
Vivre est la chose la plus rare du Monde. La plupart des gens ne font qu’exister.
L’ennui quand il devient maître du temps, joue au révélateur.
Chaque chose porte en elle sa réponse, ce qui prend du temps, ce sont les questions.
Nous sommes actuellement au stade d’évolution historique d’élimination de tout ce qui n’est pas technique.
La recherche de la croissance infinie ? Une quête morbide.
L’important ce n’est pas de vivre, encore moins de réussir, mais de rester humain.
J’ai compris que je ne pouvais appeler personne dans le meilleur de lui-même sans être moi-même libérée de mes propres blessures, de mes peurs, de ma violence. Alors seulement je peux accueillir l’autre là où il est.
Une école où la vie s’ennuie enseigne la barbarie.
Le danger n’est pas ce qu’on ignore, mais ce qu’on tient pour certain et qui ne l’est pas.
Quand on a l’esprit en forme de marteau, on voit les problèmes en forme de clous.
Il meurt lentement celui qui devient l’esclave de l’habitude, celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves.
Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.
Si vous avez besoin de quelquechose, appelez-moi, je vous dirai comment vous en passer.
Tout ce que nous n’aurons pas ramené à la conscience, se manifestera comme le destin ou la fatalité.
Il y a des gens que ça embête d’être libre.
La vraie liberté est de pouvoir toute chose sur soi.
Le niveau de la conscience de masse dépend de la conscience de l’individu.
Tout le rêve de la démocratie est d’élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli.
Seul mérite d’être produit ce qui ne privilégie ni abaisse personne. Nous pouvons être plus heureux avec moins d’opulence, car, dans une société sans privilège, il n’y a pas de pauvres.
On dit « la vie est courte », et on se dépêche de la raccourcir en pensant à autre chose.
Si vous êtes prêt à sacrifier un peu de votre liberté pour vous sentir en sécurité, alors, vous ne méritez ni l’une ni l’autre.
Le fait de pouvoir élire librement des maîtres, ne supprime ni les maîtres ni les esclaves.
Là où le sol s’est enlaidi, là où toute poésie a disparu des paysages, les imaginations s’éteignent, les esprits s’appauvrissent, la routine, la servilité s’emparent des âmes et les disposent à la torpeur et à la mort.
Notre Monde ne manque pas de beauté, ce sont les yeux pour la voir qui manquent.
Richard Borhinger
Et y a-t-il pire que d’avoir traversé la vie sans houle et sans naufrage, d’être resté à la surface des choses, d’avoir dansé toute une vie au bal des ombres ? Christiane Singer